Notre histoire
Fondation
La municipalité a été constituée en 1893.
Avant les routes
Avant même qu’il y ait des routes sur le territoire, la rivière Bécancour a été le premier moyen pour les autochtones et ensuite pour les colons d’accéder aux terres au sud du fleuve Saint-Laurent. La rivière a permis à la toute première industrie locale, l’exploitation forestière, d’acheminer son bois vers les moulins.
Les débuts d’une collectivité
« L’Augmentation de Somerset » – l’espace qui allait devenir Notre-Dame-de-Lourdes – appartenait en partie à l’ancien canton de Stanfold, tandis que le sud du territoire se trouvait dans le canton de Somerset, ce dernier étant érigé en 1807. Au fil des ans, la population canadienne-française croissait constamment. Le 5 août 1897, la population de l’« Augmentation de Somerset », des rangs I, II et III de Somerset Sud et des rangs I, II et III de Stanfold, déposait un projet auprès de la municipalité de Somerset Sud. La condition de conserver une population d’au moins 300 âmes par division étant respectée, le projet était accepté!
Le conseil municipal d’antan
Le premier conseil municipal fut formé. À l’époque, les conseillers choisissaient parmi eux la personne qui remplirait la charge de maire. On nomma M. Cyrille Nadeau. Il aura fallu attendre en 1907 pour qu’il y ait une première élection à la mairie. M. Alphonse Laliberté fut le premier maire élu.
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Source : Notre-Dame-de-Lourdes 100 ans 1893-1993 ; Gervaise Coté, Monique Bradette, Jean-Paul Guay, prêtre; Notre-Dame-de-Lourdes éditeur; 383 pages; 1993.
Moments marquants
Le pont Smith a servi à la circulation pendant 61 ans. Deux générations de transport l’ont emprunté : le cheval et le véhicule à moteur. En octobre 1965, lors de la construction du tracé de la route 265 qui modifie la route 49, la municipalité a entrepris des démarches pour la construction du pont actuellement en place. Les autorités ont ordonné la démolition du pont de fer qui s’avère en très mauvais état.
Le nouveau pont se situe au même endroit où s’effectuait au 19e siècle la traversée de la rivière au moyen du bac.
Source : Notre-Dame-de-Lourdes 100 ans 1893-1993 ; Gervaise Coté, Monique Bradette, Jean-Paul Guay, prêtre; Notre-Dame-de-Lourdes éditeur; 383 pages; 1993.
Source : Notre-Dame-de-Lourdes 100 ans 1893-1993 ; Gervaise Coté, Monique Bradette, Jean-Paul Guay, prêtre; Notre-Dame-de-Lourdes éditeur; 383 pages; 1993.
Source : Notre-Dame-de-Lourdes 100 ans 1893-1993 ; Gervaise Coté, Monique Bradette, Jean-Paul Guay, prêtre; Notre-Dame-de-Lourdes éditeur; 383 pages; 1993.
Un mouvement de centralisation des écoles à Notre-Dame-de-Lourdes amorcé en 1955 a mené à la disparition des écoles de rangs. La nouvelle école construite à cette époque a été détruite par un incendie en février 1963. Les quatre classes qui la composaient ont été aménagées temporairement dans une maison inhabitée.
Finalement, l’École Notre-Dame que nous connaissons aujourd’hui accueillait ses premiers élèves le 8 avril 1964.
Source : Notre-Dame-de-Lourdes 100 ans 1893-1993 ; Gervaise Coté, Monique Bradette, Jean-Paul Guay, prêtre; Notre-Dame-de-Lourdes éditeur; 383 pages; 1993.